
Comme ça, au lieu, de jeter la pierre à mes capacités biomécaniques intrinsèques, pierre qui aurait étouffé dans l'oeuf toute velléité ambitieuse de performance dans un avenir proche, je la jette à la face de mon cerveau, ce çà qui s'est, une fois de plus, une fois de trop, trompé sur le choix ... du terrain d'entraînement.
Car on n'a pas idée de vouloir faire des 7 x 800m à 16km/h sur des montagnes russes. Oui, je prépare les 8 km de Garches, oui ils sont vallonnés, oui je vise un temps canon mais non, ce n'est pas malin d'essayer de penser que je pourrais être potentiellement capable de courir 7 fois à 16 km/h dans une montée de 600 m à 7%.
Et je le savais pourtant puisque je m'étais déjà fait la même remarque lors de ma séance de 100m VMA ... Il faut croire que l'expérience ne m'est pas profitable. Sans doute suis-je une exception à la règle du "courir rend plus intelligent" (revue ZATOPEK N°12) ?
erreur de jeunesse...
RépondreSupprimer@Stef : lol ... Il faut se donner les moyens de ses ambitions à condition d'en avoir ... des moyens j'entends.
RépondreSupprimerEt pouf les jambes ?
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