Oui, j'avoue, pas besoin de me soumettre à la torture : je jette, et chaque semaine qui plus est, un oeil au Journal de ... Mickey auquel sont abonnés mes enfants. Bon, à ce stade, et parce qu'il me faut remonter dans votre estime, si je veux que mon blog progresse dans le classement Wikio, il faut que j'ajoute vite que je ne lis que les BD en une planche ou moins du style : Les Profs, les Bêtes ou encore et c'est ce qui nous intéresse plus particulièrement aujourd'hui : Parker & Badger.
Avant que vous ne pensiez que je débloque ou que l'abus de fractionné finit pas avoir des effets particulièrement nocifs sur le cerveau, il faut que j'en vienne enfin à la philosophie profonde de ce post : "du marathon utilisé comme source d'humour dans les magazines jeunesse" ou comment, dans le numéro de cette semaine, pour échapper à un baiser de Nicolette et éviter ainsi de rendre jalouse Clarisse, Parker se doit de finir devant Aaron au Marathon de Paris. Dit comme cela, on se croirait presque dans les Feux de l'Amour non ? Je ne vais pas vous raconter la blague, au cas où vos enfants liraient ce post, mais sachez que l'intrigue tourne autour d'une histoire de puces qui ne sont pas celles de Badger le blaireau. Vous suivez toujours ?
Ca n'a rien à voir avec ce qui précède mais ce soir, c'est l'événement littéraire avec un grand E sur Wanarun.net. A ne manquer sous aucun prétexte : le premier épisode de la e-saga de l'été.
Endurance fondamentale : la base
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L’endurance fondamentale est souvent citée comme un pilier de
l’entraînement en course à pied, mais elle reste parfois mal comprise,
voire négligée, par ...
Il y a 1 heure
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